Page:Rosny - Les Profondeurs de Kyamo, 1896.djvu/249

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

grand élan sur la mienne. Enfin, fuyante au bord de la forêt :

— Pensez à Lui !

Et dans le chant des ramures, à la lueur d’une lune encore dorée par le crépuscule, je demeurai à savourer cette douceur si douce, que depuis elle n’a plus jamais quitté ma chair.