parti pour l’étude du problème de la Vie et de la Destinée. Je n’avais cependant pas l’intention de livrer à la publicité des notes qui n’avaient été recueillies que pour faciliter la continuation de mes études. J’ai dû consentir à les faire paraître sur l’insistance affectueuse d’un grand nombre de mes auditeurs qui, en dehors de renseignement historique donné à la Sorbonne, se montraient désireux d’apprendre ce que le Bouddhisme surtout peut nous offrir, non seulement pour envisager sous un jour favorable la question si obscure de nos origines et de nos fins, mais encore pour déterminer la règle morale et intellectuelle de notre conduite ici-bas.
Tel qu’il est, ce recueil de pensées éparses pourra donner lieu, je l’espère, à des méditations fructueuses. Je tiens