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Trois ans sont ja passez que ton œil me tient pris (ibid. ; ibid.).
De voz yeux tout-divins, dont un Dieu se paistroit (ibid. ; I, 268).
Te regardant assise aupres de ta cousine (I, 291 ; ibid).
De toy, ma belle Grecque, ainçois belle Espagnole (ibid ; I, 269).
Je fuy les pas frayez du meschant populaire (I, 296 ; I, 273).
Chef, escole des arts, le sejour de science (I, 297 ; I, 274).
Si j’estois seulement en vostre bonne grâce (ibid. ; ibid.)
De vos yeux, le mirouër du Ciel et de Nature (I, 298 ; I, 275).
L’arbre qui met à croistre a la plante asseurée (ibid. ; ibid.).
Ostez vostre beauté, ostez vostre jeunesse (I, 299 ; I, 276).
De vostre belle, vive, angelique lumière (ibid. ; ibid.)
Nous promenant tous seuls, vous me distes, Maistresse (ibid. ; I, 277).
Cent et cent fois le jour l’Orange je rebaise (I, 300 ; I, 277).
Tousjours pour mon sujet il faut que je vous aye (ibid. ; I, 278).
Vous me distes, Maistresse, estant à la fenestre (I, 301 ; ibid.).
Voicy le mois d’Avril, où nasquit la merveille (ibid. ; I, 279).
D’autre torche mon cœur ne pouvoit s’allumer (I, 302 ; ibid.).
Agathe, où du Soleil le signe est imprimé (ibid ; I, 280).
Puisque tu scais, helas ! qu’affamé je me pais (I, 303 ; ibid.).[1]
Cest amoureux desdain, ce Nenny gracieux (I, 304 ; I, 281).
J’avois, en regardant tes beaux yeux, enduré (I, 305 ; I, 282).
Comme une belle fleur, assise entre les fleurs (ibid. ; ibid.).
Doux desdains, douce amour d’artifice cachée (I, 306 ; I, 283)
Pour voir d’autres beautez mon désir ne s’appaise (ibid. ; ibid.)
Coche cent fois heureux, où ma belle Maistresse (I, 307 ; I, 284)
Ton extreme beauté par ses rais me retarde (ibid ; ibid.)
D’un solitaire pas je ne marche en nul lieu (I, 308 ; I, 285).
Bien que l’esprit humain s’enfle par la doctrine (ibid. ; ibid.)
En choisissant l’esprit vous estes mal-apprise (V, 364 ; VI, 267).
Amour a tellement ses fleches enfermées (I, 309 ; I, 286).
Dessus l’autel d’Amour planté sur vostre table (ibid. ; ibid.)
J’errois à la volée, et sans respect des lois (I, 310 ; I, 287).
Maistresse, quand je pense aux traverses d’Amour (I, 356 ; I, 366).
Bienheureux fut le jour où mon ame sujette (I, 310 ; I, 287).
Plus estroit que la Vigne à l’Ormeau se marie (I, 383 ; I, 363).
Helas ! voicy le jour que mon maistre on enterre (I, 365 ; I, 340).

  1. Var. de l’éd. M.-L. : Puis que tu cognois bien qu’affamé je me pais