Page:Ronsard - Tableau chronologique des œuvres, Laumonier, 1911.djvu/51

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Quand entre les Cesars j’aperçoy ton image (V, 302 ; II, 7).
De vous donner le Ciel pour vos estreines, Sire (V, 301 ; VI, 259).
François, qui prens ton nom de François ton grand père (V, 303 ; II, 8).
L’Angleterre, et l’Escosse, et la Françoise terre (V, 304 ; VI,260).
Comme une belle Nymfe à la rive amusée (V, 316 ; VI, 260).
Le monde ne va pas, comme dict Epicure (V, 326 ; II, 10).
Prelat, bien que nostre âge aille tout de travers (V, 327 ; II, 11).
Nul homme n’est heureux sinon apres la mort (V, 328 ; VI, 262).
Tout ainsi que la Lune en s’aprochant aupres (V, 331 ; VI, 379).
Entre les durs combats, les assaults et les armes (V,335 ; II, 16).
La nature est marâtre à quelques uns, Du Thier (V, 337 ; VI, 263).
On dit qu’avec les loups (Bourdin) il faut urler (V, 343 ; VI, 380).
Il vauldroit beaucoup mieux manger en sa maison (V, 336 ; II, 16).
D’Avanson, quand je voy ta barbe et ton visage (V, 335 ; II, 17).
Depescher presque seul les affaires de France (V, 337 ; II, 17).
Qu’on ne me vante plus d’Ulysse le voyage (I, 423 ; VI, 33).
Ha, mauditte nature ! hé pourquoy m’as-tu fait (V, 362 ; VI, 380).
Icy j’appen la despouille ancienne (V, 349 ; II, 18).
Ja mon ardeur s’estoit reduitte en cendre (V, 350 ; II, 18).[1]
Si du nom d’Ulyssés l’Odyssée est nommée (V, 350 ; II, 19).
Si je pouvois, Magny, acquerir par la grace (I, 425 ; VI, 34).
Tu ne debvois, Jodelle, en autre ville naistre (V, 352 ; II, 20).
Vous avez, Ergasto, honny de vostre maistre (I, 425 ; VI, 35).
De Phœbus et des Roys Juppiter est le pere (V, 359 ; II, 21).
Tout ce qui est enclos soubz la voulte des cieux (VI, 232 ; V, 226).
Monseigneur, je n’ay plus cette ardeur de jeunesse (I, 426 ; VI, 35).
C’estoit au poinct du jour, quand les plumes du Somme (III, 410 ; III, 335).
Des Autelz, que la loy, et que la rethoricque (VII, 39 ; V, 355).[2]
Comme celuy qui voit du haut d’une fenestre (VII, 49 ; V, 362).

  1. Ce sonnet et le précédent parurent dès 1559, en tête des Sonetz amoureux de C. D. B. (Charles d’Espinay, Breton). Paris, Guill. Barbe, in-8o. L’éd. Bl. donne la variante : Ja mon brasier estoit reduit en cendre.
  2. Cette pièce, intitulée simplement Elégie à G. des Autels Gentilhomme Charrolois, fut réimprimée en 1562 avec des remaniements importants, et ce sous-titre : Sur les Troubles d’Amboise, afin de servir à la polémique contre les protestants.