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Ceus que la Muse aimera plus que moi (III, 402 ; III, 315).
Boy, vilain, c’est trop mangé (II, 351 ; II, 432).[1]
Nous ne tenons en nostre main (II, 352 ; II, 433).
Que sauroi-je mieus faire en ce tems de vandanges (V, 230 ; IV, 355)
Mon Choiseul, leve tes yeux (II, 353 ; II, 434).
Mon nepveu, suy la vertu (II, 355 ; II, 437).
Puis que tost je doi reposer (II, 356 ; II, 438).
Quand je veux en amours prendre mes passetems (II, 357 ; II, 439).
Si tost que tu sens ariver (II, 358 ; II, 440).
Ta seule vertu reprend (II, 359 ; II, 441).
La belle Venus un jour (II, 360 ; II, 441).
Quiconque a le premier des enfers deterré (VI, 39 ; V, 30).
Certes par efect je say (II, 440 ; II, 446).
Je veux aymer ardentement (VIII, 146 ; VI, 368).
Mon petit Bouquet, mon mignon (II, 475 ; VI, 125).
Ma maistresse que j’ayme mieux (II, 441 ; II, 447).
Ah fievreuse maladie (II, 442 ; II, 448).
Quand au temple nous serons (I, 74 ; I, 63).
D’où viens tu, douce Colombelle (II, 365 ; II, 450).
Celui qui boit, comme a chanté Nicandre (I, 396 ; VI, 6).
J’ai pour maistresse une etrange Gorgonne (I, 175 ; I, 156).
Que tu es, Ciceron, un affetté menteur (I, 438 ; VI, 369).
Foudroyé moy de grace ainsi que Capanée (I, 396 ; VI, 7).
Amour, tu semble au phalange qui point (I, 395 ; VI, 6).
En vous donnant ce pourtraict mien (II, 367 ; II, 452).
Le boyteus mari de Venus (II, 368 ; II, 453).
Tai toi, babillarde Arondelle (II, 486 ; VI, 369).
Te serai-je toujours redevable, Brinon (VI, 46 ; V, 37).
Du grand Turc je n’ay soucy (II, 276 ; II, 348).[2]
Lors que Bacus entre chés moy (II, 435 ; II, 349).
Toujours tu me prêches, Julien (VIII, 147 ; VI, 370).
Tu veux avecques ton bel art (Ibid. ; ibid.)
Venus est par cent mile noms (II, 437 ; II, 355).
T’oseroit bien quelque poëte (II, 438 ; II, 356).
Il me semble que la journée (I, 433 ; VI, 43).
J’avoi les yeux et le cœur (II, 283 ; II, 357).
Les Muses lierent un jour (II, 285 ; II, 360).
Pourtant si j’ay le chef plus blanc (II, 286 ; II, 360).

  1. Var. des éd. Bl. et M.-L. : Boy, Janet, à moy tour à tour
  2. Nouvelle rédaction, augmentée du double, d’une pièce publiée d’abord dans le Livret de Folastries (avril 1553). V. ci-dessus, p. 12.