Toute roiauté qui dédaigne (II, 23 ; II, 77).[1]
Quand les filles d’Achelois (II, 308 ; II, 385).
Ainsi que le ravi Prophete (II, 312 ; II, 388).
Qui renforcera ma voix ? (II, 313 ; II, 390).
Bien heureuse et chaste Cendre (IV, 115 ; II, 404).
Contenu des Amours :
Divin troupeau qui sur les rives molles (I, xxxi ; I, 2).
Qui voudra voyr comme un Dieu me surmonte (I, 1 ; I, 3).
Nature ornant la dame qui devoit (I, 2 ; I, 4).
Dans le serain de sa jumelle flame (I, 3 ; I, 4).[4]
Je ne suis point, ma guerrière Cassandre (I, 3 ; I, 4).
Pareil j’egalle au soleil que j’adore (I, 4 ; I, 5).[5]
Ces liens d’or, ceste bouche vermeille (I, 5 ; I, 5).
Bien qu’à grand tort il te plaist d’allumer (I, 5 ; I, 6).[6]
Lors que mon œil pour t’ceillader s’amuse (I, 6 ; I, 6).
Le plus toffu d’un solitaire bois (I, 6 ; I, 7).
Je pais mon cuœur d’une telle ambrosie (I, 7 ; I, 7).[7]
Amour, Amour, donne moy paix ou trêve (I, 7 ; I, 8).[8]
J’espère et crain, je me tais et supplie (I, 8 ; I, 8).
Pour estre en vain tes beaux soleils aimant (1,9 ; I, 8).[9]
- ↑ Plaquette in-8o de 12 ff. non chiffrés. Paris, Cavellat. — Ma bibliothèque. Cf. Cat. Roth., I, 472. — La paix dont il s’agit fut signée le 24 mars.
- ↑ Paris, Michel Fezandat et Robert Granjon, pt in-8o de 104 ff. non chiffrés. — B.-N. Rés. Ye 1633. La dédicace de Denisot à Madame Marguerite, sœur de Henri II, est datée du 25 mars 1551.
- ↑ Paris, Ve Maurice de la Porte, in-8o de 239 ff., suivis de 32 ff. de Musique. Privilège du 6 septembre ; achevé d’imprimer du 30 septembre. — Bibl. municip. d’Orléans, D. 1505. Se trouve encore au Br. M.
- ↑ Var. des éd. Bl. et M.-L. : Entre les rais de sa jumelle flamme
- ↑ Var. de l’éd. M.-L. : Je parangonne au Soleil que j’adore
- ↑ Var. de l’éd. M.-L. : Bien qu’il te plaise en mon cœur d’allumer
- ↑ Var. de l’éd. M.-L. : Amour me paist d’une telle Ambrosie
- ↑ Var. de l’éd. M.-L. : Ah ! traistre Amour, donne moy paix ou trêve
- ↑ Var. Je l’éd. M.-L. : Pour aller trop tes beaux soleils aimant
