TABLEAU CHRONOLOGIQUE
Quand je seroy’ si heureux de choisir (Bl. II, 402 ; M.-L. VI, 66).[1]
Quand mon Prince épousa (II, 241 ; II, 308).[2].
Voicy venir d’Europe tout l’honneur (VI, 297 ; VI, 201).[3].
Sus, luc doré, des Muses le partage (V, 283 ; VI, 146).[4].
Comme un qui prend une coupe (II, 41 ; II, 91).
Je suis troublé de fureur (II, 43 ; II, 93).
Il faut que j’aille tanter (II, 47 ; II, 97).
Quand tu n’aurois autre grâce (II, 51 ; II, 101).
L’hinne que Marot te fit (II, 53 ; II, 103).[6].
- ↑ Publiée dans les Œuvres Poétiques de Jacques Peletier, Paris, Michel Vascosan ; privilège du 1er septembre 1547. — B. N., Rés. Ye 1853.
- ↑ Plaquette in-8o de 5 pages, Paris, Vascosan ; ni priv. ni ach. d’impr. — Br. M. 11405, aa, 49.
- ↑ Plaquette in-4o de 132 vers. Paris, Gilles Corrozet.
- ↑ Plaquette in-8o de 8 ff. non chiffrés. Paris, Vascosan. — Cat. Roth., I, 472.
- ↑ In-8° de 182 ff. (y compris prélim. et errata). Paris, G. Cavellat. — B. N., Rés. Ye 4769. — Cf. Cat. Roth., I, 472. Privil. du 10 janv. 1549 (1550, n. st.).
Ronsard a écrit pour ce recueil trois préfaces en prose : 1o Un avis Au Lecteur : Si les hommes tant des siècles passés… (Bl. II, 9 ; M.-L. II, 474), 2o Un Avertissement au lecteur : J’avoi délibéré, lecteur… (II, 14 ; II, 478). 3o Un Suravertissement au lecteur : Depuis l’achèvement de mon livre… (Froger, Prem. poés. de Ronsard, p. 30 ; Marty-Lav., Notice sur Ronsard, cxvi ; Laumonier, Rev. d’Hist. litt. janv. 1902, p. 45).
- ↑ Var. des éd. Bl. et M.-L. : L’hymne qu’après tes combas