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Que tousjours vous aurez, si quelque soin vous touche,
En l’esprit mes escrits, mon nom en vostre bouche.
Maintenant que voicy l’an septième venir.
Ne pensez plus Helene en vos laqs me tenir.
La Raison m’en délivre, et vostre rigueur dure,
Puis il fault que mon âge obeysse à nature.