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Ronsard - Les Chefs-d’œuvre lyriques, édition Dorchain, 1907.djvu/66
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Il ne faut s’ébahir, disaient ces bons vieillards
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Afin que ton honneur coule parmi la plaine
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Mignonne, allons voir si la rose
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Ô fontaine Bellerie — — — —
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Couche sous tes ombrages verts
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Du malheur de recevoir.. —
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Ecoute, du Bellay, ou les Muses ont peur
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Ecoute un peu, fontaine vive
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Ifou vient cela, Pisseleu, que les hommes
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Antres, et vous fontaines…
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Ma douce jouvence est passée
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Les épis sont a Cerès — — — —
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Le petit enfant Amour —. •
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Ma guitare, je te chante — — —
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Dieu vous gard^, messagers f dites —
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Bel aubépin verdissant —. —
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Du grand Turc je tiai souci. — —
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Les Muses lièrent un jour — — —
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Versons ces roses en ce vin — — —
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Sur toute feurette declose —. —
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Nous ne tenons en notre main
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La belle Vénus un jour.. —
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T’oserait bien quelque poète — — —
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Le jour que je fus né, Apollon, qui préside
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Masures, désormais on ne peut inventer —
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Jà du prochain hiver je prévois la tempête
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À mon retour {hé ! je m’en désespère’)
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Pour retenir un amant en servage —
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Plus étroit que la vigne à l’ormeau se marie
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Je vous envoie un bouquet que ma main
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Nous vivons, mon Belleau, une vie sans vie
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Ecoute, bûcheron, arrête un peu le bras —
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Puisque le lieu, le temps, la saison et l’envie
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