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Ni voir flamber au point du jour les roses,
Ni lis planté sus le bord d'un ruisseau,
Ni chant de luth, ni ramage d'oiseau,
Ni dedans l'or les gemmes bien encloses,
Ni des Zéphirs les gorgettes decloses,
Ni sur la mer le ronfler d'un vaisseau,
Ni bal de Nymfe au gazouillis de l'eau,
Ni de mon coeur mille metamorfoses,
Ni camp armé de lances herissé,
Ni antre verd de mousse tapissé,
Ni les Sylvains qui les Dryades pressent,
Et jà desja les dontent à leur gré,
Tant de plaisirs ne me donnent qu'un Pré,
Ou sans espoir mes esperances paissent.
’ , M v {2‘}? Ni Toirfl amba'.)ll digqn'zh’i achat“: en ce monde;
gui lui don: tant de plaiânqn’vn Pré. le me douceroi'
on qui: fous ce Pré,quelque meilleure chef: fut ùntë-
du:.Maîs pafl 'ons outre. magnum.) Le: pierres u. cieufes. Dz: æepbirmDes peds ventelets,qniibufl genz au printans. mgazuuillu'.) Au bruit. uibluiu.) Dieu: des forefl s. Lu Drycla. )LCSANMIIGI de: bois {c nommétù'yadeaæu Hämadryadil à celles des montagnespreadencellcl du eau:,Naiadèl.
Dedans les Prés je vis une Naiade,
Qui comme fleur s’assisoit par les fleurs,
Et mignotoit un chappeau de couleurs,