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franc de trouait Je paragonne à yo ^ytulsc Depuis le iour Mol e si grand .Amour archer llfaifoit chault Franc de roifon Ce petit chien Entre tes bras le tehay, peuple,

Dy Tvn des deux Cenefiut qu'haint l'iray ttufieurs Vn roile obfiur

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Si tu ne yeux A 3

De ton poil d'or fS9

Dieux fi la hault A u

Jeune Herculm f-9 1

Lune a l'oeil brun A+

ynediuerfi A S

J?ue lâchement f-67

En ma douleur A®

.Ayant par mort fit 9

En ce pendant f-7*

JJuel bien auray ie f 7*-

£» e fer tuant f-7i

Cefilpenfir £?%

Les trois Sonetz enfuyuans fe chantent fur la Mufique de Quand i’apperçoy.

f?an mil cinq cent f-S\ v ..„ v ■ *

Lepenfement f-SS

De foings mordant A ^

AV RESTE fitches,Leâ:eur,que tous les Strophes,&Aoti- Arophes de l’Ode à Monfieur de l’Hofpital,fe chantent lus la Mufî- que du premier Strophe ERRANT PAR LES C H A M P S. Et les Epodesdel’Odemefmes.fus U mufique du premier Epode E N Q^. V 1 R.ESPANDIT LE CIEL.