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M V R E T.

ru 14 lcwlmr.) ll elt ares aifé.


J'aloi roulant ces larmes de mes yeus,
Or plein de doute, ore plein d'esperance,
Lors que Henri loin des bornes de France,
Vangeoit l'honneur de ses premiers aieus.

Lors qu'il trenchoit d'un bras victorieus
Au bord du Rhin l'Espagnole vaillance,
La se trassant de l'aigu de sa lance,
Un beau sentier pour s'en aler aus cieus.

Vous saint tropeau, qui dessus Pinde errés,
Et qui de grace ouvrés, & desserés,
Vos doctes eaus à ceus qui les vont boire :

Si quelque fois vous m'avés abreuvé,
Soit pour jamais ce soupir engravé,
Dans l'immortel du temple de Memoire.

MURET j '1’41ai mlm.) Il décrit leuns ,lanquel ‘cè h'm'e me çompoië, entremef‍lan: vne loümge du trefcbrelh'en, 8: trefuiâaorieus Rai n n! n I. A la f‍in il prieles Mu— fès qu'elles lui facen: ce bien d’immortalifer (on lin te. Vn femblableh'eu efgä la f‍in de: GeorgiqçdeVergile

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