nüe celle qui reluir en (a dame. Comme l:le l'va î Comme Hercule, qur (c brulla fur vne montagne de Thefl 'aliemommée OEte.Voi le neuuic’me des Mota- morfofes d‘0uide,& la derniere Tra edie deSene ne. Chaconne defi n mieuaJ’oint d‘vn de rr du bien n’x ef- l e auoiraprés qu‘ilfera fepare du con. K: elleJc chant d'i demeurer. Je Famine, Comme defi xenc de fbm’r. A A .I
Ce fol penser pour s'en voler plus haut
Apres le bien que hautain je desire,
S'est emplumé d'ales jointes de cire,
Propres à fondre aus rais du premier chaut.
Lui fait oiseau, dispost de saut en saut,
Poursuit en vain l'obget de son martire,
Et toi, qui peus, & lui dois contredire,
Tu le vois bien, Raison, & ne t'en chaut.
Sous la clarté d'une estoile si belle,
Cesse penser de hazarder ton ale,
Ains que te voir en brullant deplumer :
Car pour étaindre une ardeur si cuisante.
L'eau de mes yeus ne seroit suffisante,
Ni suffisans touts les flots de la mer.
M v R E T. 4 Cefblpmfi r.)ll veut dire par ce Soñet,qu'ilfe deuroîl‘. retirer de penfer en (a dame. veu n'en i penfan: il ex- Vcifl te vn feu dedans foi , que non eulement l'es pleurs, mais route l'eau de la mer ne (“aurait éteindre . Maiiil d nife cela par me allegorîe,& faîfant vne allufi on n la bled: D:dale,qui pour (hi, a; pour l'on fi le lente“ fi t des ale: ior'nrea dezcircmueclefi nellev il: n’en role-