Quand ma Nymfette en simple verdugade
Cueillant des fleurs, des rais de son oeillade
Essuia l'aer grelleus & pluvieus:
Des vens sortis remprisonna les tropes,
Et ralenta les marteaus des Cyclopes,
Et de Jupin rasserena les yeus.
M V RE T.
V» voile nfmr.)Sa dame étant alée,par pafl 'etäs cueü lir des fl eurs,le tam fe changea tçllement qu’ilfe’princ a venter,grefl er;pleuuoir,ton nenéchirer tout cnl‘gm- ble.Elle voian; clame-fi : que fi rnplcment donner vne gracîcufe œillade veu le ciel, parla tenu de la ne"; le tout fut incontinen: apailë. anu'n ML) m. diffuitfur la terreNcr île, ‘ ‘
- -Cnpit4nsjsdlü bmiùgnnlo.
mfi a wkan,) Le fcuure des dieut. - Dcfi : fumant ) Des Cyclopesgui forgent le: foudres aluppiter . voi rode des inyurcs contenue! en vn tableau ,qui’en
gu fècond iure. Et l ' )Ain€ Vergile, Jp/äpammüa “35.050,44”an Putain-5m du“.
De: mfam't naprifi uq lu Mu. )"I.es fi t rené." dans les cauexne: d’AEoluc. Et nlm, aneth. au.
uppin,)De IuppimMot Prancois ancien.
En autre part les deux flambeaus de celle
Qui m'esclairoit, sont allés faire jour,
Voire un midi, qui d'un stable sejour,
Sans annuiter dans les cœurs estincelle.
Et que ne sont & d'une & d'une autre aele
Mes deus coustés emplumés alentour?
Haut par le ciel sous l'escorte d'Amour