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f‍in:,& les mon“: rresbîépar l'ef Je ' e! es fours, apre: lefquelsyoians la mer boäf‍i pmplce a nauiguer,prenia congé de lui. npf‍iudré: leur route. Huit ans aprés,Telcpbe ne pouvant muuer aucun re- mede afa plaie,receut vn oracle,qn'il faloig que celluj mefme quil‘auox‘: bleffé, le reguetik,_ [venant vers Achille,en peu de iourræàrle " ' ' ' n. cent entier: guen'lbnAinf‍ile racorltel'ms'ts:v ' DL

l âys dans le fecond liure de la guerre deïfm- rie le Commentaire de Lyco fro n.Ouîde,

Valmu .Àthif‍iu que: undtmf‍inruhif‍ii, valut-ri; auxilùml lia haîh “lira .

les vns difènthue pour le reguerir , il ne f‍it que le te; ’ frapper de la mçfme hache au ‘mefme endroit . Plinc dit, qu‘il i apliqua de la rouille de {a hache ,laquelle a ‘ . V r vertu de lier,fècher,& ref‍lraindrcshudîon dir,qu’di ' aph'qu: quelques herbes. ,

’ 6km mbiüeù remettait Telepbm habit. ' La barbe îelim.)Thef‍lI-alienne.Pelionf‍lonzaignç

Je Thef‍l'ah'e. >

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Ce ris plus dous que l'œuvre d'une abeille,
Ces doubles lis doublement argentés,
Ces diamans à double ranc plantés
Dans le coral de sa bouche vermeille,

Ce dous parler qui les mourans esveille,
Ce chant qui tient mes soucis enchantés,
Et ces deus cieus sur deus astres antés,
De ma deesse annoncent la merveille.

Du beau jardin de son printans riant,
Naist un parfum, qui mesme l'orient
Embasmeroit de ces douces aleines.