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inf‍iif‍iuorable en meurt, cône“: fut: Roger, le- uelder le premier fait qu‘il ardu au chateau de]: e ma 'denue Meule, obtintnf‍iedle ce que les a— mmô émeut le plumeau: entendre œdpoi l’An'o- ne au fetdême chant. EWQÇM)TC con duifant a ton gré. Le: vent qui mpnupàt le nuire, c'en adire.qui le frappent parle m:— n‘men nomment la poupe) aident n:

. {on cours,& l'ont apellé: parles Latim, .

E gnou Mm f‍iqum. Dela et! que le coi: dit cellui auoir vent en poupe ,aqui fes n‘ai”

f‍irccedent bienÆnrgir .) C'çf‍i ceque les Latin: N'en, j .qprlldef‍inthLl pouf‍l'eMot de marine. ‘


Je te hai peuple, & m'en sert de tesmoin,
Le Loir, Gastine, & les rives de Braie,
Et la Neuffaune, & l'humide saulaie,
Qui de Sabut borne l'extreme coin.
Quand je me pers entre deus mons bien loin,
M'arraisonnant seul à l'heure j'essaie
De soulager la douleur de ma plaie,
Qu'Amour encharne au plus vif de mon soin.
Là pas à pas, Dame, je rememore
Ton front, ta bouche & les graces encore
De tes beaux yeux trop fidelles archers:
Puis figurant ta belle idole feinte
Dedans quelque eau, je sanglote une pleinte,
Qui fait gemir le plus dur des rochers.

M V R E T.

Je te haiptuplt.)ll dit,que le! lieutfrequentér lui font en haine,& qu'il n’aime que le: lieus folitaires , pour “F!!! a (en airs #95925 hantée ë!“ à?" n 8.‘ W

1.1.

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