Pour rendre fi el le miel des hommes. ' fi el}: dire,pour mefl er quelque amertume parmilex chutes qui leur fontlcs plus agrcables. ‘
Franc de raison, esclave de fureur,
Ie vois chassant une Fere sauvage,
Or sur un mont, or le lon d'un rivage,
Or dans le bois de ieunesse & d'erreur.
I'ai pour ma lesse un lon trait de malheur,
I'ai pour limier un trop ardent courage,
I'ai pour mes chiens, & le foin, & la rage,
Le déplaisir, la peine, & la douleur.
Mais eus voiant que plus elle chassée
Loin loin devant moins s'enfuit eslancée,
Tournant sur moi la dent de leur effort.
Comme mastins affamés de repaitre,
A lons morceaus se paissent de leur maitre,
Et sans merci me trainent à la mort.
M V R E '1'- anhmifi n. )Il veut dire que les afl 'cfl iom mon 'renfœsquilui rongent perpetuelîemêt le cœur,le con- duifenm la mort.Maîs il traître cela par vne fort gçn-.
. tile allâàoriefi omparät fon amour a vne chaires: dix,
queJ’ nt ofl é hors du îou de raifon, poqr PàKugero tir afi n:an pourrai: vne Pare fauuage ,c’efl ï dire {à 'dameniant pour limier,l’ardeur de {on (mirage, 6: les afl ’eâiom en lieu daums chiens . Mais que fes chiens voians que la Fete ne veut aucunemêt fuir deuan: gui: aîns leqr fait tefl efi bien ,qu’ils ne la pané: acroch'er: de dépit fi : ruent contre leur maître , a: le «ignorent.
C'cfi m. 31W 2 h fable. 4'4êm. qui. 28W a"
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