Page:Ronsard - Les Amours, 1553.djvu/113

Cette page n’a pas encore été corrigée

’T

un p. DE honunn. 89

de l'a houfsin e,en tels animausÿqne bon lui fembloit. Vlyf‍lè , apres la delfaitte de Trole , errant f‍ixr la mer, print terre,pres la demeure de laditte Circe:& dccou- urant vue fumée en l‘zr,l‘aperceut ' ue‘le pais étoir ha bitél’arquoi voulant concitre,qu en": rfm‘foicnt demeure,cboif‍it par fort quelque: 1m e (en compai-

nons,& les i enuoia . Lefqucls Mmaiñn de ñNymfefurent par elle receus , 8: W: il: mode acoutumécf‍i bien qu'ils furent tous chau'g'e'f‘èn porcs, fors leur conduâeur Eurylcch,qui fuiant , n'irèrlæoh; ter a VlyfTeJ’etrange mefauéture de t'es conîpai . Vlyf‍l'e fâché pourla perte delà: foldats,dclibere chu— dementd'iallerlui-mefùxe: 6: trouue en fou “chemin Mercure en laforme d'vnionhenceau,qui lui dqnnan: la contrepoitbn, l’enfeigna comme il pourrait l'e gal- rcntir des enchantemens . rauoir l'es hommes. Voi Homcre au dif‍iême de l'odyf‍l'ée,& Guide au quator- f‍iême de la Metamorfofe. Herbepnberef‍l'e, Nuifante. Duf‍in Cnngd’Vlyf‍l'e renommé pour (Mincir: , 8c a cette cau fe nommé par Homere wkl'rgonr- Ltff‘î l vangmf‍l'ed’atcc que abordant Circc,commc Mercure l'auoit con feillé, il lui rEdit l’efpéc nue, falgnant la vou loir tuer. Mol], racine d’herbe , qu‘Homere décrit en ces verr.

Px’Zu ,uÊV/chw l'an-701M": N {lulu 3M".

MGM J‘Êpn malin: Geai. ‘ ’. Et Ouide. '

Rmf‍ir hui: Jedemtf‍lamn maff‍ia“ 150m:

Mal) varantf‍iaperimigm ndmunmr. l Voi Pline au quatrième chapitre du vintecinquiéme liure. Le Du/irh: troupeau) Les foldatg d'Vlyf‍l'e’ , ‘ui étaient chargés en porcs. Dulx'che e'tort vne if‍lqdè a—

n quelle Vly e étoitf‍iaigncur. 1.454961! ' e

1

valoitcontrctous enchantemens.llrîof‍ieau tgîëlgg .' -

chant,

6

- u

4 ‘rv o» .‘ç. Â