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ables.P:rainf‍i Pindare au: PythieaJe nomme pere d e tous les Mu f‍icienle raconte ce! memeilles de foi, au’ Argonautiques (au moins f‍ic‘el't lui, qui les a faites dilant ainf‍i, ' <

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Apolloine le temoigne aul‘si [ùrlc commenceraqu

des Argon au:iques:& mef‍ines dit,qu‘on voit enThra— ce quelques arbres arrengés en rond , qui le fuiuirene là , des le pais de Pierie.Les femme: de Thrace,parce que depuis la perte‘de fa femme Eurydice, il auoit toue' q le rue fe miuin en haine 81 horreur, fe muf‍inerent contre lui , s: vn iour , ainf‍i qu‘il chantoit , lui couru—

.rent fus, 84 le decliirerent en pinces. Voi Ouide en

l‘vnf‍iêmc de la Metamorfofe. PMan.)Prinee du neuf lyriques Grecs , lequel Horace dit ellref‍i excel—.

' lent, uc qui voudrait entreprendre de l'imiter,entre-

prcn roit vne chofe du tout i'mpofsibl: . Thomas f‍in- nommî le Maître Àgrammairien Grec raconte , qu’A- pollon l‘aimait tant,qu‘il lui enuoioit touiours pan tie des chofes , qui lui étoientof‍l'eneszac mefmesans facrif‍i ces publiques ,le Pref‍l’re l'apeloita haute vois, avenir difncr aueque: le Dieu . On dit , qu‘il f‍it vnv hymne en la louange du dieu Pan,:uquel le dieu princ li grand plaif‍ir , qu‘il le chantait lui-mel'me par les montai nes . uand les Lacedemonicns mirent a fac la ville de Thebes, ils lui porterent tel honneur, que iamais perlbnne ne voulut toucher a l'a mailon; deuant laquelle il auoit mis cc vers, I

gui».