Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
xxxviii
PIERRE DE RONSARD
ment, ayant ôté plusieurs belles pièces et changé les plus beaux et hardis traits des autres, de manière qu’on n’y reconnaît quasi plus ce grand Ronsard qui a mis notre poésie française au parangon de la grecque et romaine. »
Sans méconnaître ce qu’il y a d’excessif dans ces appréciations passionnées, M. A.-P. Garnier peut mettre avec confiance sous le patronage de Pasquier et de Dupuy l’édition publiée à la veille du quatrième centenaire de la naissance de Ronsard.
P. N.