Page:Rollinat - Paysages et paysans.djvu/211

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Et, quand d’un invisible vol
Dans l’air, au chant du rossignol,
Vont les brises capricieuses…

L’astre sorcier qui les revêt
De son ombre magique, en fait
D’étranges pierres précieuses.