Page:Rollinat - Les Névroses (Fasquelle 1917).djvu/235

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Un jour on me dit : « Il tousse. »
Pourtant, chétif et perclus,
Le baby suçait son pouce.

La mort le prit sans secousse :
Et jaune, hélas ! n’étant plus
Frais comme l’herbe qui pousse
Le baby suçait son pouce.