Page:Rollinat - Les Apparitions, 1896.djvu/221

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Image d’assassin qui la nuit se regarde
Longuement, fixement dans sa glace blafarde
Et qui, de son remords rouge l’éclaboussant,
Se mire, ensanglanté, dans un cristal de sang !