Page:Rollinat - L’Abîme, 1886.djvu/142

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Sans l’Avarice, le métal
Ne ferait ni bien ni mal.

Sans la Luxure, certains coins
Ne seraient pas nos témoins ;

Et sans la Gourmandise, à tout
On trouverait même goût.

Nul ne réalisant ceci,
Il faut confesser ici

Que tous les cœurs sont les châteaux
Des Sept Péchés Capitaux.