Page:Rollinat - Dans les brandes (Charpentier, 1883).djvu/273

Cette page a été validée par deux contributeurs.

XLVI

MES GIROUETTES


Elles grincent, mes girouettes,
Sur le pauvre toit en lambeaux.
Tous les arbres, grands et nabots,
Ont de lugubres silhouettes !

Dans la saison des alouettes,
Quand les cieux dorment sans flambeaux,
Elles grincent mes girouettes
Sur le pauvre toit en lambeaux.