Page:Rollinat - Dans les brandes (Charpentier, 1883).djvu/150

Cette page a été validée par deux contributeurs.

XXXV

LA MORT DU COCHON


Moi, qui l’avais vu si petit,
Je fus tout chagrin de sa perte,
Et cette pauvre masse inerte
Ne m’inspira nul appétit.

Lorsque chacun se divertit
Et festoya dans l’herbe verte,
Moi, qui l’avais vu si petit,
Je fus tout chagrin de sa perte.