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Ici, là, fondrière ou flaque,
Complices de la nuit opaque !
Et la rafale beugle ainsi qu’un taureau noir,
Et voici que sur moi vient s’acharner la claque
De l’abominable battoir.

Enfin, ayant fui de la sorte
À travers la campagne morte,
J’arrive si livide, et si fou de stupeur
Que lorsque j’apparais brusquement à la porte
Mon apparition fait peur !