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à wegeler


Vienne, 17 février 1827.


Mon vieux et digne ami !

J’ai reçu heureusement de Breuning ta seconde lettre. Je suis encore trop faible pour y répondre ; mais tu peux penser que tout ce que tu dis m’est bienvenu, et que je le désire. Pour ma convalescence, si je peux la nommer ainsi, cela va bien lentement encore ; il est à présumer qu’il faut s’attendre à une quatrième opération, bien que les médecins n’en disent rien. Je prends patience et je pense : tout mal apporte avec lui quelque bien…. Combien de