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chaîne monstrueuse et sans fin de la vie, dont chacun des anneaux enfonce la mâchoire dans la nuque de l’autre, se repaît de sa chair, jouit de sa douleur, et vit de sa mort ? Pourquoi la lutte et pourquoi la douleur ? Pourquoi la mort ? Pourquoi la vie ? Pourquoi ? Pourquoi ?…

Ce soir, quand l’enfant rentra, le pourquoi s’était tu.