Page:Rolland - L’Âme enchantée, tome 6.djvu/88

Cette page n’a pas encore été corrigée

Il mugit :

— « Oui ! »

Il retomba, le front dans ses mains, sur l’appui.

Muette, elle alla dans l’autre chambre, ouvrit, ferma des tiroirs, prit çà et là quelques objets, elle rentra dans la pièce, un petit sac à la main ; elle regarda une dernière fois Marc écroulé, elle ouvrit les lèvres pour parler, elle se dirigea vers la porte, l’ouvrit, se retourna, ; appela :

— « Marc !… »

Il ne bougea pas. Elle sortit.