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tient captive, par l’amour et la peine, les épreuves à venir, le sort qui attend et lie…

— ( « Je sais, je sais… » )

…de la Mater Dolorosa

— ( « Je ne fuis pas. Me revoilà !… » )

Et ses yeux se reportent sur lui, le fils, sur le cher songe. Elle est reprise par les yeux des vivants. Elle sourit, et retombe…

« Warte nur… »


Bientôt nous nous réveillerons.

20 mai 1926.

Fin du Troisième Livre de l’Âme Enchantée.