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Une mère voit toujours en son enfant l’enfant. Dans ces lettres de l’adolescent heurtées, incertaines, irritées, elle entendait le ton du maître. Et, comme aux temps anciens, où la mère sans mari tombait sous la tutelle du fils aîné, elle courbait la tête.

Mais elle la redressa, aussitôt…

— Mon fils. L’homme que j’ai fait. Mon œuvre… On est égaux.