Page:Rolland - L’Âme enchantée, tome 3.djvu/197

Cette page n’a pas encore été corrigée

au jour. Et s’il la décelait, ce ne serait pas aux yeux implorants de la mère.

Il ne se livrait un peu, en parlant, qu’à Sylvie. Avec elle, il était à l’aise et causait tranquillement. Avec Annette, il s’observait et il l’observait. Au reste, plus d’insolence, point d’irritation, comme dans leurs rapports passés. Il était poli. Il écoutait sans répliquer. Il attendait sans impatience. Il attendait sans impatience qu’elle partît.