Page:Rolland - Jean-Christophe, tome 6.djvu/238

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

222
JEAN-CHRISTOPHE À PARIS

nuit, en pensant à la peine qu’il avait faite. Il lui arrivait même, aussitôt rentré à l’École, d’écrire à sa sœur une lettre pleine d’effusions. — Mais le lendemain matin, quand il l’avait relue, il la déchirait. Et Antoinette ne savait rien de tout cela. Elle croyait qu’il ne l’aimait plus.