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l’adolescent

était forcé. Il évitait peureusement toute occasion de passer les portes, de s’aventurer dans les champs : il craignait d’y retrouver le souffle de folie, qui s’était abattu sur lui, comme un coup de vent dans un calme d’orage. Il croyait que les murailles de la ville pourraient l’en préserver. Il ne pensait pas qu’il suffit, pour que l’ennemi se glisse, d’une fente imperceptible entre deux volets clos, de l’épaisseur d’un regard.