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Jean-Christophe
sance à vouloir, à créer, et à être. Désirs, instincts, pensées sortaient les uns après les autres, comme des nuages de soufre des fissures d’un volcan ; et il se demandait toujours :
— Et maintenant, que sortira-t-il ? Qu’adviendra-t-il de moi ? Sera-ce toujours ainsi, ou sera-ce tout à fait fini ? Ne serai-je rien, jamais ?
Et voici que surgissaient maintenant les instincts héréditaires, les vices de ceux qui avaient été avant lui. — Il s’enivra.