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LES DERNIERS QUATUORS
[partition à transcrire]
Il ne se lasse pas de cet exercice. Il le ressasse. On dirait qu’il est retourné à ses jeux d’enfant, à ses variations d’avant 1800.
Ceux qui, comme Nottebohm, ont de la piété pour l’adagio, sont choqués et peinés que l’image de leur beau dieu soit sortie de pareils badinages. Ils tâchent de se persuader qu’ils sont sans lien avec l’adagio. — Mais il n’y a aucun moyen d’en douter, car non seulement le fragment : « La Gaieté », fait suite, sur le manuscrit, à des travaux pour le premier morceau du quatuor op. 127, et s’emboîte exactement dans le développement en ut majeur du thème esquissé de l’adagio ; mais il se termine par le retour à l’adagio en la bémol (« als
