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LES DERNIERS QUATUORS
[partition à transcrire]
Ajoutons que le mouvement adopté, dès le début, est presque toujours ternaire ; et que la tonalité employée le plus volontiers est le mi bémol[1]. De plus, la mélodie est presque toujours précédée de quelques mesures d’introduction, qui forment une préparation soit ascendante, soit descendante, à « l’oraison » (car tel est évidemment le sens de ce morceau). Les deux formes de prélude, essayées, ont leur vérité psychologique. L’une, comme une montée de l’âme vers Dieu (p. 59) :
[partition à transcrire]
l’autre, comme une plongée d’humilité ou de dépression, d’où jaillit le cri d’appel à Dieu (p. 60) :
- ↑ À l’encontre de la lecture, fautive, de M. C. de Roda.