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LES DERNIERS QUATUORS
[partition à transcrire]
Symphonie (Cf. Nottebohm, II, p. 181 et De Roda, ex. 45) y avait ajouté une pédale en la :
(Cf. l’allegretto finale de la sonate pour piano, op. 31, 2). Ce procédé est fréquent chez Beethoven et correspond à un état mental (aussi bien physiologique que psychique) : fixité de l’idée, bourdonnement intérieur. — Mais la préoccupation et la hantise s’accusent par des moyens bien autrement insistants, hallucinants, dans le texte définitif de l’allegro final.