Page:Rolland - Beethoven, 3.djvu/359

Cette page n’a pas encore été corrigée
349
LE CHANT DE LA RÉSURRECTION

Ce que j’atteste, en terminant, c’est que dans aucune œuvre Beethovenienne des dix dernières années — même dans la Messe et dans la Symphonie, — le vieux lion ne s’est montré aussi souverainement maître et seigneur de son Reich in der Luft — le royaume de songe — que dans la Sonate op. 106.