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BEETHOVEN
il est impossible de ne pas évoquer d’immenses lames sonores, soulevées par les coups de vent. Dans la Coda, la mêlée des flots hurlants est au paroxysme. Le dessin de la basse, répété à chaque mesure, sur un mouvement enragé, est comme un troupeau de vagues à l’assaut, ciui se brisent contre une falaise ■ Pk{]^Al-r I* ru» ... r ... g -ffü’5 ?? RI"'
- dzo*ziz±zzzzzi : 4AztrzzÉ ! N -"■’^4 :
TüiJZI rr* 1 j ! 1 1 « . [ ’ fg ? F F ? * jusqu a ce qu’elles l’aient renversée, submergée : in* if pr- :- : 1 hvi^-fg % Z Z- ; *——1—*rP Ainsi, d’un bout à l’autre, le principal acteur, presque unique, le héros, est la Force nue des Éléments destruc teurs. Si un tel ouvrage ne laisse pourtant aucune impression accablante, — mais bien au contraire, exalte comme le
