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me regarde, je le connaissais, ou du moins sa femme, pour l’avoir vue à Vincenness, et c’est probablement du chanoine que le tient M. Lant[henas].

Tu as fait au mieux pour Suzon et le reste ; j’en suis tout à fait aise. Il paraît cependant que l’amie n’est contente qu’à demi ; mais ce n’est pas en faisant ce qu’on appelle des affaires, qu’on peut se promettre un bonheur sans nuages.

Je n’ai presque pas travaillé hier ; nous avons couvert des confitures et fait de ces misères de femmes dans lesquelles on n’est pas fâché de se rendre utile. J’ai mieux fait ce matin : mais, au bout du compte, je n’ai pas plus de dix pages d’expédiées. Je vois plus de choses que je n’imaginais pouvoir en remarquer ; mais, de bonne foi, il faut passer sur beaucoup, parce qu’il n’y aurait rien moins qu’à refondre.

Je vais écrire un mot au Crespyssois ; on le lui remettra demain à Montdidier, je l’engagerai à venir me faire une visite.

Je suis bien aise de la réponse de M. Néret et de la petite correspondance qui en résulte ; la première pièce n’est pas une perle jetée à des pourceaux.

La bonne est raccommodée, les choses se font bien et mieux, grâce à-toi. Mon bon ami, ce n’est pas la première fois et les occasions s’en renouvelleront encore où tes avis m’éclaireront et serviront à notre commun bonheur. Bonjour, tendre ami ; tu ne me dis point si tu avanceras ton retour ; on voudrait t’envoyer la voiture au-devant ; je le désire bien aussi, car je crains la fatigue et le mauvais temps. Adieu ; aimons-nous, comme tu dis, et vogue la galère !

Tu devines tout ce dont on me charge pour toi.


Le 7 au matin.

Je joins une épître que je viens de faire pour le malade ; je l’ai consolé et j’ai babillé tant que j’ai pu. Bonjour, cher ami, reviens, que je

    parle en effet des « folies de Seguin, caissier du duc d’Orléans, dont on célébrait la fête (de Seguin) par des illuminations, et fit banqueroute peu après »