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d’une règle qu’il avait fait lui-même établir. Barbié du Bocage parla sur sa tombe[1]. Le Magasin encyclopédique de 1816 (I, 359) publia une notice sur lui, par le Dr Larche, qui l’avait assisté à son lit de mort. Son éloge, composé par le secrétaire perpétuel de l’Académie des Inscriptions (il avait passé dans cette classe lors de la réorganisation de l’institut par le premier Consul), devait être lu à la séance publique de 1819, mais ne le fut pas, « faute de temps », dit l’article de Depping de la Biographie universelle. Il fut néanmoins inséré dans les Mémoires de l’Académie de cette année là[2]. C’est Raoul-Rochette qui le remplaça à l’Académie.
- ↑ Funérailles de M. Mentelle, le 31 décembre 1825. (Pariis, Didot, s. d. in-4o.) C’est le discours de Barbié du Bocage. On y lit : « M. Mentelle a le premier sollicité l’établissement d’une certaine pompe dans nos funérailles et de notre inhumation dans un lieu particulier. Il était naturel qu’il trouvât lui-même sa sépulture dans le lieu qu’il avait indiqué… ».
- ↑ Voir, dans l’article de Depping de la Biographie littéraire, VI, 47, la longue liste des ouvrages de Mentelle. — Voir surtout : 1° Notice sur la vie et les ouvrages de Mentelle, par Mme la princesse Constance de Salm (Paris, Didot, 1839, in-8o) ; 2° un article très complet de la Biographie Rabbe.