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PALMIRA.

on le lui avait dit, d’un ton excessivement commun, et qui contrastait beaucoup avec celui de ses enfans.

Cependant elle reçut Palmira de bon cœur, l’assura qu’il suffisait qu’elle fût une connaissance de son fils, pour être la bien venue. Miss Eveling répondit froidement que c’était uniquement sous les auspices de mademoiselle Carloni qu’elle était venue demeurer quelques semaines chez elle, et qu’elle n’aurait pas vu deux fois de suite son fils, sans l’espérance qu’il lui avait donnée de la placer d’une manière décente, et convenable, dans une maison où il paraissait être estimé. Elle se leva aussitôt, prétextant la crainte de l’incommoder, et se retira.