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CHAPITRE XLII.
Le lendemain, Carloni lui fit présenter ses respects, et savoir qu’il
n’avait osé troubler sa solitude de la
veille ; mais qu’il lui demandait la permission
de lui présenter sa sœur dans
le courant de l’après-midi. Palmira
répondit qu’elle les recevrait tous les
deux avec plaisir. Effectivement,
vers quatre heures, Carloni entra
avec sa sœur, assez jolie personne,
de dix-neuf à vingt ans, vêtue de
meilleur goût que les Italiennes ne le
sont en général. Ses manières simples,
mais affectueuses, convinrent beaucoup
à Palmira, que l’on sollicita