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PALMIRA.

était celui de ladi Élisa. Jusque-là il n’avait été entouré que de cyprès ; mais les jeunes filles de Sunderland, à qui on raconta l’histoire de Palmira, dont tant de fois elles avaient admiré la beauté et béni la bienfaisance, s’empressèrent à planter, à entretenir des fleurs entre les cyprès ; et cet aspect, agréable et mélancolique en même temps, attira plus d’une fois le voyageur près de ce monument.

La duchesse, ayant terminé assez promptement ses affaires en Italie, partit donc pour l’Angleterre avec sir Alvimar et Simplicia ; ils se rendirent à Sunderland. Il était bien tard lorsqu’ils y arrivèrent, mais les pâles rayons de la lune éclairèrent,