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PALMIRA.

inspiraient une sorte de tristesse, à laquelle Palmira était trop naturellement portée pour n’en être pas frappée. En y entrant, elle demanda même un autre logement dont la perspective sur-tout fût plus agréable. Carloni répondit que celui-ci était le plus sain, qu’elle y serait moins tourmentée par les chaleurs brûlantes de l’été, et qu’il lui conseillait de s’y fixer. Palmira n’aimant pas à renouveler ses sollicitations près de cet homme, n’insista point, et s’occupa de ses arrangemens. Carloni occupait le pareil appartement à l’autre extrémité. Rosine couchait près de miss Eveling. Dix-huit domestiques les entouraient, et néanmoins cet