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PALMIRA.

ques au cœur de Palmira ; des larmes de reconnaissance tombèrent sur la main de miladi, qu’elle avait saisie : la nature, dans ce moment, semblait lui commander d’accueillir, de protéger Palmira, et lui révéler que ce n’était point une étrangère pour elle.

Deux jours de repos remirent miss Eveling. Elle ne se doutait pas des intentions de la duchesse, qui avait décidé que ce ne serait qu’à Mont-Fierry, qu’elle lui parlerait du mariage dont la célébration, d’après ses projets et ceux de Carloni, devait suivre de très-près la proposition. Ce fut donc sans ce surcroît de malheur, que Palmira partit de Florence.