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PALMIRA.

il se défend d’être le gendre du digne et aimable Edward.

« Adieu, mon respectable ami, répondez à mes observations sur votre fils. Je veux connaître et dissiper, s’il est possible, le nuage qui obscurcit l’éclat de sa jeunesse.

« Mes respects à ladi Mathilde. Le pauvre Arthur, malgré son austère raison, ne se résout pas de bonne grace à vivre loin d’elle si long-temps. Dans quelques mois il volera à ses pieds. Alors j’intercéderai près de vous, je vous prierai de la confier à son époux, et de me procurer le bonheur de la recevoir en Espagne, en attendant l’époque heureuse, où, ayant rempli notre tâche envers la patrie, vous