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PALMIRA.

et agréable ; ses plantations, objet de l’admiration générale, ne sont cependant cultivées que par des mains libres, le digne chevalier ayant affranchi tous ses noirs ; aussi chacun de ses reconnaissans serviteurs vaut-il mieux pour le travail que deux esclaves.

« Les papiers ci-joints assurent la possession de sir Abel Alvimar. J’attends ses ordres avec respect, et les exécuterai avec la plus parfaite exactitude.

Arnold, régisseur de
Berris-Tonn.


Chère Palmira, acceptez, partagez avec votre époux, cet asile de la philantropie ; il est digne de vous